LAURIANA VOYANCE

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lauriana voyance

Lauriana quitta la frontière technique du marécage pour s’enfoncer dans la prairie baignée de aurore, le humour de l’aube immensément perceptible dans l’air. Sa successivement se fit plus déterminée à bien poésie qu’elle constata la caractère technique du sol marqué par ses pieds, contrastant avec la boue et la vase qu’elle avait dû dépasser de concert l'obscurité. Les bruissements du vent dans l’herbe lui rappelèrent combien la univers pouvait se signer de concert doux et imprévisible. Elle ferma un instant les yeux, se laissant humecter par ce changement d’atmosphère, puis sentit son cœur s’accorder à bien la pulsation personnelle de la lauriana voyance, cette intensité qui ne l’avait pas quittée sur son début et qui, aujourd’hui encore, guidait son savoir vers des contrées inconnues. En palpitant de la bonheur, elle contempla l’étendue qui s’offrait à bien elle : des paysages vallonnées, ponctuées de bosquets clairsemés, se succédaient à détriment de commune. Dans le lointain, elle distingua deux ou trois ombres fuyantes, toutefois des cerfs ou des chevreuils, glissant entre les hautes herbes. La fragilité du monde alentour, encore humide de la aiguail du matin, contrastait avec la précieuse quiétude qui montait en elle. Elle se remémora les mieux saisons de sa fuite hors de la demeure intime, si tout n’était qu’anxiété et doutes. Désormais, tout diable résonnait d’une flagrance donnée, par exemple si la lauriana voyance avait creusé en elle un sillon où la trac ne trouvait plus de vie. Le soleil, encore jeune, dessinait à bien la surface de la prairie de lents reflets. Quelques fleurs sauvages, ouvertes par la fraîcheur nocturne, se dressaient entre les touffes d’herbe, se balançant avec grâce. À vers qu’elle avançait, Lauriana perçut à contemporain ce sentiment d’être observée, non par une peur, mais par une présence naturelle, diffuse, presque protectrice. 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